- Emilie Laperrière, collaboration spécialeLa Presse
La
publicité et la conception de vélos ont peu en commun. C'est pourtant
les deux domaines dans lesquels Alec Stephani a travaillé, après son
diplôme en graphisme à l'École des arts décoratifs de Genève.
«C'est lors d'un événement portes ouvertes que j'ai eu un coup de coeur pour la publicité. Je voulais transmettre mon message par l'image. J'avais d'ailleurs déjà des contrats pendant mes études», dit Alec Stephani.
Après avoir travaillé comme directeur artistique dans une boîte de publicité, le principal intéressé s'installe à Montréal en 1988, pour poursuivre sur la même voie.
Une remise en question l'attend toutefois au détour. «Je réalisais que je mettais ma créativité au service de produits auxquels je ne croyais pas. J'ai même refusé de travailler sur des mandats qui étaient en contradiction avec mes valeurs», se rappelle M. Stephani.
Un sous-marin à propulsion humaine
Un ami lui propose alors de travailler avec lui sur une idée à des années-lumière du marketing: en collaboration avec l'École de technologie supérieure (ÉTS), ils conçoivent le projet Omer, un sous-marin à propulsion humaine. «C'est ce qui m'a amené vers le design concret», estime Alec Stephani. Ils ont d'ailleurs créé un monstre, puisque le projet Omer en est à... Omer 8, selon Alec.
Depuis, ce dernier se consacre au design de vélos, principalement à la gamme Opus. «Tout le monde me pose la question «C'est quoi, un bon vélo? «. J'essaie constamment d'y répondre et de mieux définir le concept de vélo urbain», explique-t-il.
Sa mission: faire redécouvrir le vélo aux citadins. «Concevoir la meilleure bicyclette du monde, c'est facile. Tu prends les meilleures composantes et tu les assembles. Le défi, c'est de faire un vélo accessible, puisque chaque détail compte.»
Sa formation et son expérience en publicité l'aident beaucoup dans son travail. «Je suis à l'aise dans les communications, la mise en marché et le marketing. Mais la publicité, c'est devenu un outil plutôt qu'un métier», réalise Alec Stephani. Nul doute que ce touche-à-tout saura continuer longtemps de mettre sa créativité à profit.
«C'est lors d'un événement portes ouvertes que j'ai eu un coup de coeur pour la publicité. Je voulais transmettre mon message par l'image. J'avais d'ailleurs déjà des contrats pendant mes études», dit Alec Stephani.
Après avoir travaillé comme directeur artistique dans une boîte de publicité, le principal intéressé s'installe à Montréal en 1988, pour poursuivre sur la même voie.
Une remise en question l'attend toutefois au détour. «Je réalisais que je mettais ma créativité au service de produits auxquels je ne croyais pas. J'ai même refusé de travailler sur des mandats qui étaient en contradiction avec mes valeurs», se rappelle M. Stephani.
Un sous-marin à propulsion humaine
Un ami lui propose alors de travailler avec lui sur une idée à des années-lumière du marketing: en collaboration avec l'École de technologie supérieure (ÉTS), ils conçoivent le projet Omer, un sous-marin à propulsion humaine. «C'est ce qui m'a amené vers le design concret», estime Alec Stephani. Ils ont d'ailleurs créé un monstre, puisque le projet Omer en est à... Omer 8, selon Alec.
Depuis, ce dernier se consacre au design de vélos, principalement à la gamme Opus. «Tout le monde me pose la question «C'est quoi, un bon vélo? «. J'essaie constamment d'y répondre et de mieux définir le concept de vélo urbain», explique-t-il.
Sa mission: faire redécouvrir le vélo aux citadins. «Concevoir la meilleure bicyclette du monde, c'est facile. Tu prends les meilleures composantes et tu les assembles. Le défi, c'est de faire un vélo accessible, puisque chaque détail compte.»
Sa formation et son expérience en publicité l'aident beaucoup dans son travail. «Je suis à l'aise dans les communications, la mise en marché et le marketing. Mais la publicité, c'est devenu un outil plutôt qu'un métier», réalise Alec Stephani. Nul doute que ce touche-à-tout saura continuer longtemps de mettre sa créativité à profit.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire